Les Casablancais doivent avoir un problème
psychologique.
Pourquoi n'arrivons-nous pas à nous défaire
de cette ville? Pourquoi ne pourrions-nous pas vivre ailleurs? Pourquoi,
partons-nous et revenons-nous? Qu'est ce qui nous attache?
Parce que si nous avons une impression
de ''al ghorba'', ce n'est pas tant elle qui nous manque, mais plutôt un plat,
quelques habitudes et l'absence de factures, frais et autres responsabilités en
tout genre (les étudiants vivants à l'étranger se reconnaîtront).
Elle n'a rien de spécial, n'est plus très
blanche notre Dar Beida, sans oublier la pollution, les cris, les
klaxons...! Notre attachement serait-il lié à un brin de masochisme?
Le pire, et nous ne nous en rendons pas
compte, c'est que nous y vivons à l'intérieur, comme si la ville était fermée...et
la mer alors? Nous survivons dans cette magnifique jungle, aussi bruyante
qu'éreintante, mystérieuse et tellement traditionnelle.
Les Casablancais vivent dans le blanc et
snobent le bleu.
Moi
je veux vivre avec les deux.
The Casablanca must have a psychological problem.
Why can not we get rid of that city? Why can not we live
somewhere else? Why do we leave and return us? What binds us?
Because if we have an impression of''al ghorba'', it is
not so much that we lack, but rather a flat, a few habits and lack of invoices,
expenses and other liabilities of any kind (students living abroad who you
are).
It is nothing special, not very white Dar Beida our, not
to mention pollution, screams, horns ...! Our commitment is it linked to a
touch of masochism?
Worse, and we do not realize is that we live in, as if the
city was closed ... and then the sea? We survive in this beautiful jungle qu'éreintante
as loud, so mysterious and traditional.
The Casablanca live in the white and blue snub.
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